présents :
Pour le moment, nous n’avons pas fait appel au chômage partiel. Possibilité de faire appel au chômage partiel en fin d’année.
Beaucoup de formations en école transformées en distanciel, et formations Radio France (et France Télé, en stand by) reportées
Projet RPA transformé en partie en distanciel. En attente de réponse du partenaire pour l’adaptation.
Handicap pour nous : on ne peut plus ou peu voyager. Donc, il y a une crainte que le réseau s’amenuise si on ne peut plus aller sur place.
Les projets de 2019 (formations au Togo, Tanzanie, assistance en Turquie), pendant un an ce sera encore compliqué, donc on va continuer les solutions en distanciel.
Projet OTF (distributions de boitiers VPN auprès de 3 partenaires) reporté en 2021. Problème de financement par OTF qui s’est vu supprimer ses financements. En attente d’une réponse pour savoir si les financements pour le projet ené par N2H sont maintenus, partiellement ou non. Sur les 65 000 qu’ils nous restaient à dépenser sur le projet (sur 70 000 au total), on pourrait avoir 10 000. Ces 10 000 euros sont essentiellement mobilisés sur la RH.
Soumission du projet Tech 4 Press : mise en place hotline et services pour des journalistes. Les journalistes francophones et anglophones peuvent contacter hotline par mail ou Signal pour avoir des conseils techniques (+ des formations, VPN, coffre-fort en ligne, analyse de malwares). On vise 200 à 300 journalistes par an.
Même sans OTF, on prévoit des comptes de l’association à + 20 000 euros. Et avec la rentrée, il y a Tech 4 Press à mettre en place, il y a les formations Radio France et en école de journalisme.
Une demande a été faire pour obtenir le label organisme de formation.
Des questionnements sur l’orientation de l’association ont été évoqués :
Question : doit-on créer notre propre réseau de bénévoles ou doit-on s’appuyer sur des plateformes existantes ?
Marine fait part d’un cas ‘parlant’ : le confinement, et donc le monde de l’éducation en panique face à l’école à la maison, et donc le numérique. Création du collectif : continuité pédagogique qui s’est transformé en faire école ensemble Il y a eu plus de bénévoles que de demandeurs. Conclusion : ça part de bonnes intentions, mais faire d’abord un constat de quels sont les problèmes, les demandes.
La question à se poser est donc quel champ investir, à qui rend-t-on service ? Qu’a-t-on envie de faire sur trois ans, et ensuite de se demander comment (bénévoles, permanents).
On reste sur ces pistes, avec l’idée de monter un comité pour les étudier et prendre une décision.
Dans un second temps, volonté d’un objectif fin 2020/début 2021 : améliorer notre communication.
Pistes étudiées :